Le texte aborde les défis spécifiques auxquels font face les femmes en situation de handicap en matière de santé sexuelle. Il présente des données alarmantes sur le suivi gynécologique, le recours aux dépistages, et les violences subies par ces femmes. En combattant les idées préconçues, il insiste sur l’importance du suivi gynécologique annuel, soulignant qu’une consultation ne nécessite pas forcément un examen gynécologique. Le respect du consentement dans la prescription de contraceptifs est également mis en avant.

Informations complémentaires:

58 % des femmes en situation de handicap en Île-de-France déclarent un suivi gynécologique, comparé à 77 % pour l’ensemble des femmes en Île-de-France.
Les femmes en situation de handicap ont un recours moindre aux dépistages pour le cancer du col de l’utérus et le cancer du sein, indépendamment de la nature du handicap.
En France, 4 femmes en situation de handicap sur 5 subissent des violences et/ou maltraitances de tout type.
Il est souligné que 80 % des handicaps sont invisibles, mettant en lumière la diversité des défis auxquels font face ces femmes.
Le texte combat les idées préconçues, telles que l’idée que les personnes en situation de handicap n’ont pas de sexualité, et insiste sur la nécessité d’ouvrir la discussion sur divers aspects de la vie sexuelle et reproductive, tout en respectant le consentement.
La prescription de contraceptifs est soulignée comme devant être effectuée après la recherche explicite du consentement de la personne concernée.

lien vers le site handiconnect : https://handiconnect.fr